Bonjour,
On tremble à l’idée qu’une explosion d’usine chimique, comme à Rouen, ait eu lieu chez nous : outre les odeurs persistantes dans les bâtiments, qui font craindre des intoxications, en souffriraient aussi les jardiniers qui ne pourraient plus récolter leurs fruits ni leurs légumes, et les paysans qui verraient le fruit de leur labeur devenu impropre à la consommation ; les éleveurs en plein air se trouvant encore plus impactés que ceux qui confinent leurs bêtes, ce qui est quand même un comble !
Cela fait réfléchir à la fragilité de notre système techno-industriel basé sur le gigantisme et la chimie des hydrocarbures, sans compter celle de l’atome…
Bon, que cela ne nous empêche pas de nous retrouver dimanche après-midi à Montauban, pour célébrer joyeusement notre Fête des Possibles et imaginer la suite !
Beaux jours à vous,
Michèle
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